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  • Bad@jlai.luOPtoActu Memes@jlai.luTermes et conditions
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    4 hours ago

    Je ne sais plus quel est mon style graphique, c’est encore une expérimentation. Peut-être que la prochaine aura l’air différente. Peut-être que je reviendrai aux bonhommes en bâton. Qui sait de quoi le futur est fait.

    PS: Cette arroganterie parle du contrat social.




  • Bad@jlai.luOPtoLefty Memes@lemmy.dbzer0.comChoices have to be made
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    2 days ago

    The “patriotic nationalism” discourse is strong. If people think we need to prepare for war, then they’ll let the government do literally anything without protesting too much. That includes going back on workers rights, which Macron strongly hinted he’ll do to get those 6.5 billions. Get ready to be disappointed.




  • En train d’essayer de faire un style un peu plus sérieux, je sais pas si j’aime autant, plus, ou moins que mes bonhommes bâtons habituels. On verra bien à la longue si je choisis de faire l’effort d’évoluer ou de revenir en arrière vers mon style confort.

    PS: 211 milliards d’aide aux entreprises.









  • Il y en a, mais leur fortune a été construite via l’exploitation de la pauvreté locale ou du sud global. L’exemple souvent utilisé par les défenseurs des riches c’est le gars de Patagonia qui a donné sa fortune à la lutte contre le changement climatique. C’est censé être un bon exemple, comme si sa fortune n’était pas issue d’exploitation et n’aurait pas pu être redistribuée aux salariés et artisans qui ont contribué à l’enrichir. C’est bien qu’il l’ait donné, mais voilà quoi…

    Pour ma part je ne vois pas pourquoi les milliardaires devraient exister. Le fait qu’il n’y a que deux ou trois contre-exemples vaguement acceptables soutient qu’on se porterait mieux si on redistribuait leur fortune.




  • Il n’est pas impossible que l’effet principal soit déterrent - et ça c’est plus difficile à mesurer. Encore que dans le temps, par zones précises, c’est possible en comparant les chiffres.

    Non ça se mesure plutôt bien.

    La référence c’est l’étude de Laurent Mucchielli sur l’inutilité de la vidéosurveillance, qui a été publiée sous forme de livre plus accessible qu’une thèse. Elle montre entre autres que dans des régions où la vidéosurveillance a été généralisée, la criminalité ne baisse pas. Soit elle se déplace, soit elle s’anonymise mieux, soit elle en a rien à faire des caméras. Pire, dans une ville en particulier sur laquelle il concentre une bonne partie de son étude (Marseille), la criminalité augmente au même temps que l’augmentation des méthodes de surveillance et de répression. Prévention ratée, des mesures sociales auraient été plus efficaces.

    Le best of c’est quand la gendarmerie a commandé une étude pour vérifier l’utilité de mesures de vidéosurveillance sur la prévention de la criminalité, et les chercheurs qui ont bossé dessus leur ont rendu le résultat opposé de ce qu’ils attendaient.

    Il y a pas mal de méthodologies différentes possibles pour comparer avec/sans vidéosurveillance, toutes arrivent à la même conclusion. Toutes? Non, un ministère d’irréductibles hargneux résiste, car le ministère de l’intérieur est littéralement le seul à publier régulièrement des études démontrant l’efficacité de la vidéosurveillance généralisée. À voir si tu préfères les croire eux ou des chercheurs qui ont longuement travaillé dans le domaine !





  • 1984 c’est encore un de ces cas où le capitalisme lit une dystopie et se dit “ah cool c’est un mode d’emploi ?”

    L’idée de criminaliser la pensée comme dans 1984, c’est à la mode dernièrement. Les USA qui te laissent pas rentrer chez eux si t’as la mauvaise opinion politique, la Chine qui pourrit ton crédit social si tu ne suis pas la ligne du parti, la France qui t’humilie publiquement si tu ne condamnes pas le Hamas avant chaque phrase sur un plateau TV, la centralisation des médias et des réseaux sociaux aux mains des ultra riches, etc…

    Si tu veux une citation de 1984 en rapport avec notre monde actuel, j’approxime, mais ça donne plus ou moins, “la double pensée c’est accepter d’avoir deux opinions opposées simultanément”. On veut exploiter les immigrés mais aussi les mettre dehors. On fait de l’écologie tout en criminalisant l’écologie. On déplace l’argent dans les poches des riches et on supprime l’ISF puis on se plaint de ne plus avoir assez de recettes fiscales. C’était malheureusement un peu trop visionnaire comme livre sur les dérives du néolibéralisme, et sur ce qui semble être en train de devenir son successeur, le technoféodalisme.

    Le bouquin est intéressant à lire, et plutôt court. Les deux premiers actes ne sont pas particulièrement transcendants, c’est juste de la scifi oldschool bien écrite. Le troisième acte par contre, sous condition d’arriver à rentrer dans l’histoire et à empathiser avec le personnage principal, est très puissant émotionnellement.



  • Les gens qui rêvent d’une large union des gauches aux présidentielles, réconciliez-la avec ces propos :

    Il y voit «une erreur, et même une aberration». Les propos tenus dimanche par la patronne des députés LFI, Mathilde Panot, sur la conception mélenchoniste de la sécurité municipale, ont poussé Olivier Faure à marquer clairement sa différence. «Jamais (…) je n’accepterai sur une liste… Je ne me mettrai pas derrière un maire Insoumis qui annoncerait qu’il va supprimer la vidéoprotection ou qu’il va supprimer l’armement des policiers (municipaux), cela n’a aucun sens… Comment peut-on même l’imaginer ?», s’est étranglé le premier secrétaire du PS, sur France Info. Le patron du parti de la rose a également affirmé qu’«aucun socialiste (n’)aura dans son programme la fin de toute forme de vidéoprotection.»

    Je vous souhaite bon courage !





  • Bad@jlai.luOPtoLefty Memes@lemmy.dbzer0.comOwning the libs
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    10 days ago

    It’s a general purpose allegory, doesn’t have to be about the US specifically. In my home country (France), the person enjoying the fire tends to be higher up the building, as here the richer people are, the further right they lean. You could also have it be about global warming, about race relations, about queers and other minorities, or pretty much anything else.


  • De base je ne comprends pas comment le projet de Stérin peut être légal. Il a dit publiquement que son but est spécifiquement de faire gagner le Rassemblement National, les dépenses pour soutenir les partis politiques sont plafonnées. Il finance ça avec des thunes clairement liées à de l’évasion fiscale, mais pas de signe d’une enquête ou d’un redressement alors qu’il fait revenir ces thunes en France.

    Soit il est protégé par le gouvernement, soit on peut dire adieu à ce qui restait de la séparation des thunes et de la politique… et en écrivant ça je me souviens de la campagne de Macron financée bien au delà des montants autorisés par des riches via des ruses fiscales, aka le « macrongate », et je vais juste retourner doomer dans mon coin je crois.




  • Les chiffres ne trompent pas : plus une ville est dense, plus tout est près, moins les distances sont grandes et moins on a besoin de la voiture au quotidien — et donc plus facilement on s’en débarrasse.

    Ainsi, Paris, Bordeaux (Gironde) et Strasbourg (Bas-Rhin) occupent les trois premières places de notre palmarès, devant Lille (Nord), Grenoble (Isère), Lyon (Rhône), Nantes (Loire-Atlantique) ou encore Toulouse (Haute-Garonne), Montpellier (Hérault) et Rennes (Ille-et-Vilaine). Dans ces villes, la voiture peut généralement rester au garage… ou chez le concessionnaire.

    La règle n’est toutefois pas toujours vraie. Preuve en est Marseille (Bouches-du-Rhône), deuxième ville de France, parmi les plus denses que compte le pays, à la 27e place de notre palmarès, derrière Metz (Moselle), Amiens (Somme), Dijon (Côté d’Or) ou Orléans (Loiret).

    Certaines villes moyennes — disons de moins de 100 000 habitants — sont toutefois aujourd’hui plus propices à lâcher la voiture, sans être dans le top de notre classement. C’est le cas de La Rochelle (Charente-Maritime, 23e de notre palmarès), Versailles (Yvelines, 34e), Poitiers (Vienne, 39e) Avignon (Vaucluse, 41e), Valence (Drôme, 49e) ou Chambéry (Savoie, 53e).